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La Lettre de l’Expérience Digitale – Février 2024 : trafic, cyberattaques, IA, data

La Lettre de l'Expérience Digitale
La Lettre de l’Expérience Digitale – Février 2024 : trafic, cyberattaques, IA, data — Cover Image

Coup de vieux : Facebook vient de fêter ses 20 ans. Si la plateforme est désormais sur le déclin, vivant à l’étranger avant son lancement en France, je peux me targuer d’avoir été l’un des premiers utilisateurs français à ses débuts 🙂 . C’était à l’époque le meilleur (voir le seul) moyen pour rester en contact avec mes amis et anciens collègues. Mais il faudra attendre 2008 et sa traduction pour que le réseau social trouve son public français.

Fast-forward : aujourd’hui, il ne reste que 2 ou 3 groupes qui m’attirent encore régulièrement sur la plateforme, et apparemment, je ne suis pas le seul à continuer d’apprécier cette fonctionnalité propre à Facebook. Est-ce suffisant pour expliquer pourquoi 37,7 % de la population mondiale est encore active mensuellement sur ce réseau présenté comme dépassé ? N’oublions pas que certains de ses principaux remplaçants, comme Instagram, WhatsApp ou Threads, appartiennent au même groupe.

Allez, bonne lecture !

Pas le temps de tout lire ? Je vous fais un récap’

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1-

Trafic en baisse, coût des visites en hausse, le Digital Experience Benchmark 2024 est sorti

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2-

Pierre Casanova nous partage les enseignements du benchmark : 2 visites sur 5 génèrent de la frustration

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3-

Les cyberattaques s’intensifient, avec « Mother of all breaches », la plus grande fuite de données personnelles de l’histoire

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4-

Nouveau souffle pour les robots humanoïdes, qui commencent à intégrer l’IA générative pour booster leurs capacités conversationnelles

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5-

La transparence sur la donnée et le libre-service sont 2 des piliers pour devenir résolument « data-driven »

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6-

2 nouvelles startups ont rejoint le palmarès des licornes : Pennylane et Mistral AI

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Le data snack

1. Une visite n’a jamais été aussi précieuse – c’est le bilan du Digital Experience Benchmark 2024

Vous l’avez peut-être vu passer, Contentsquare vient de publier son Digital Experience Benchmark 2024 ! Si nous n’avez pas encore eu le temps de le parcourir, je vous ai sélectionné les 7 chiffres clés à retenir :

– 3,6 % |

la baisse du trafic mondiale en 2023

1/3 |

la part des visites en ligne issues de sources de trafic payant

+ 9,4 % |

la hausse du coût d’une visite

70 % |

la part du trafic mobile en 2023

– 5 % |

la baisse du taux de conversion, qui est passé de 2,8 à 2,6 % entre 2022 et 2023

– 3 % |

la baisse de la consommation en ligne*

39,6 % |

la part des sessions qui ont généré de la frustration (+ 3,9 % par rapport à 2022)

Pour découvrir tous nos insights et nos recommandations pour optimiser votre expérience utilisateur en ligne, c’est 👉 ici.

* La consommation mesure la quantité consommée par un visiteur au cours d’une session, ce qui inclut les pages vues et le temps passé sur le site.

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3 questions à…

2. Pierre Casanova, Chief Revenue Officer chez Contentsquare, sur le Digital Experience Benchmark 2024

!

Pierre-Casanova

À l’occasion de la sortie du Digital Experience Benchmark 2024, Pierre Casanova, notre Chief Revenue Officer, a présenté les enseignements clés en avant-première à nos clients. En marge de cette présentation, je suis allé lui poser quelques questions.

Geoffrey : Le Digital Experience Benchmark 2024 vient de sortir, quelles sont les tendances à retenir ?

Pierre : En 2023, une visite n’a jamais été aussi précieuse. On a assisté à une baisse globale du trafic : – 3,6 % en 2023 par rapport à 2022. Si le trafic mobile s’est maintenu (- 0,4 %), cela s’est fait au détriment du trafic sur desktop (- 12 %). Cela vient confirmer la tendance du mobile qui grignote chaque année 3 à 4 % de parts de marché du desktop. Le mobile représente désormais entre 50 et 80 % du trafic, en fonction des industries.

Conséquence inévitable, avec un taux de conversion inférieur au desktop, le taux de conversion global est à la baisse. Dans ce contexte tendu, deux industries tirent leur épingle du jeu : le travel (+1,4 % de trafic), et les biens de grande consommation (+3,5 %).

Comment les entreprises peuvent-elles contrebalancer cette baisse de trafic ?

Face à cette baisse de trafic, la guerre du trafic fait rage et le coût de chaque visite augmente : + 9,4 % en un an. Pour attirer des visiteurs, les entreprises doivent de plus en plus s’appuyer sur le paid, qui représente désormais 1 visite sur 3.

Le paid search reste majoritaire (23 % du trafic), même si le paid social gagne du terrain. En matière de conversion aussi, le paid search présente un taux de rebond 40 % inférieur au paid social, et par conséquent convertit 4 fois mieux.

Qu’en est-il de l’expérience digitale aujourd’hui ?

Une fois que ce trafic (moins nombreux et qui coûte plus cher) arrive sur un site internet, ce n’est pas fini ! On constate une augmentation de la frustration des visiteurs, avec près de 2 visites sur 5 qui suscitent une certaine frustration, notamment avec des rage clicks, des erreurs Javascript ou un temps de chargement trop long.

De la même manière, sans avoir augmenté de manière notable, le taux de rebond représente toujours près d’une visite sur deux. Par conséquent, la consommation globale sur les sites, un indicateur qui prend en compte à la fois le temps passé sur le site et le nombre de pages vues, a baissé de 3 %.

Bien sûr, ces résultats varient d’une industrie à l’autre. Pour découvrir l’ensemble des résultats du Digital Experience Benchmark 2024, rdv 👉 ici.

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L’actu du moment

3. « Mother of all breaches » : la plus grande fuite de données personnelles de l’histoire a eu lieu le 24 janvier et personne (ou presque) n’en a entendu parler.

Vous aussi, vous avez remarqué l’explosion du nombre de spams reçus quotidiennement ? C’est le média Cybernews, un site spécialisé en sécurité, qui en a identifié la cause : la fuite de plus de 26 milliards de données personnelles issues de diverses plateformes et réseaux sociaux (dont LinkedIn, X, Deezer, Adobe, et bien d’autres).

Surnommée Mother of all Breaches ou MOAB, cette fuite de données colossale est probablement la plus importante découverte à ce jour. Elle comprend 12 téraoctets d’enregistrements provenant de milliers de fuites, de brèches et de bases de données privées, ainsi que de nouvelles données volées, le tout méticuleusement compilé et réindexé sur une plateforme accessible au public.

Outre l’envergure de cette fuite de données, la présence d’informations sensibles, comme des données industrielles ou gouvernementales provenant des États-Unis, du Brésil, de l’Allemagne, ou encore de la Turquie, ainsi que des détails personnels, la rend particulièrement préoccupante.

« Cet ensemble de données est extrêmement dangereux, car les acteurs de la menace pourraient utiliser les données agrégées pour une large gamme d’attaques, y compris l’usurpation d’identité, les systèmes sophistiqués d’hameçonnage, les cyberattaques ciblées et l’accès non autorisé à des comptes personnels et sensibles » explique l’expert en cybersécurité Bob Dyachenko.

En parallèle, d’autres bases de données ont été découvertes, comme celle identifiée par Troy Hunt, le spécialiste en cybersécurité qui se cache derrière le site Have I Been Pwned, contenant 71 millions d’identifiants et 25 millions de mots de passe uniques. Ces découvertes confirment l’ampleur croissante des fuites de données, un phénomène qui ne fait que s’accentuer avec le développement de l’IA. C’est ce que confirme le rapport “The State of Phishing 2023” de SlashNext : depuis fin 2022 et le lancement de ChatGPT, les e-mails de phishing ont connu une augmentation de 1 265 %.

La réglementation, et notamment la directive NIS2 qui entrera en application cette année en Europe, suffira-t-elle à endiguer cette menace croissante ?

Pour vérifier si vos données personnelles ont été divulguées, Cybernews a publié un vérificateur de fuites de données.

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Résumé d’article

4. Les robots, bientôt de retour dans la course à l’innovation ?

Peu d’entre vous le savent, dans une ancienne vie, les robots faisaient partie de mon quotidien.

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À l’époque, tout le monde pariait sur l’essor des robots humanoïdes, dans la vie professionnelle et personnelle. En se rapprochant d’une forme humaine, les robots devaient provoquer l’empathie chez l’humain et favoriser ainsi son adoption. Alors pourquoi la réalité n’a jamais rattrapé les scénarios de SciFi ? La faute est attribuée au manque de fluidité dans les interactions. Le langage qui nous est naturel et nous distingue en tant qu’humain reste l’élément manquant pour créer l’expérience ultime avec les robots et accélérer leur adoption par le plus grand nombre.

Mais, ça, c’était jusqu’à ce que l’IA générative change la donne.

Imaginez un robot humanoïde branché à ChatGPT qui parlerait avec une voix humaine ? Si on en croit le nombre de startups présentes au dernier CES de Las Vegas, ce fantasme n’est pas loin de devenir réalité !

C’est le pari qu’a fait Chris Nielsen, patron de l’entreprise Levatas qui a intégré de façon expérimentale ChatGPT à Spot, le robot quadrupède de Boston Dynamics. « Nous sommes de plus en plus proches d’un futur rempli d’humanoïdes » soutient l’entrepreneur. « Ils vont devenir les collègues des humains, notamment grâce aux interfaces en langage naturel. »

Présent au CES également, Moxie, un robot anthropomorphique haut comme trois pommes et dopé à l’IA générative, se présente comme un compagnon éducatif pour les enfants, capable de leur apprendre à méditer et à reconnaître des émotions, de leur raconter des histoires ou de leur donner un cours de math. Un peu plus loin, c’est le robot Aura qui répond aux questions des curieux : « On me pose beaucoup de questions : es-tu un homme ou une femme ? Veux-tu dominer le monde ? Veux-tu m’épouser ? Quel est le sens de la vie ? » Et, pour faire une pause, rien de mieux qu’un café servi par Adam, le robot-barista (Richtech Robotics) qui danse et peut désormais faire des blagues, grâce à l’IA générative.

Alors, donne-t-on une nouvelle chance aux robots ?

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Tips et bonnes pratiques

5. 5 piliers pour intégrer la data dans son organisation

La plupart des entreprises se sont fixées comme ambition de devenir « data-driven », mais de nombreuses organisations traditionnelles peinent encore à démocratiser les données au-delà des départements et experts data. Afin de réellement intégrer la data dans son organisation, voici les 5 piliers pour changer de paradigme et créer une « démocratie des données » :

#1 Élargir l’accès aux données en déployant des catalogues et marketplace de la data

Sans accès facile à la donnée, impossible d’avoir un usage généralisé. Trop souvent, les données sont enfermées dans des applications et ne sont pas accessibles pour un usage ultérieur. Pour casser ces « silos de données », les entreprises peuvent commencer par mettre en place un moyen pour les employés de visualiser les données disponibles au sein de l’organisation et de pouvoir en demander l’accès. Pour ce faire, des catalogues de data ou des centres de métadonnées peuvent offrir une expérience semblable à celle d’une bibliothèque.

Cette solution a été mise en œuvre avec succès par Airbnb avec l’outil de découverte et d’exploration des données Dataportal. La plateforme reproduit notamment l’écosystème de données de l’entreprise sous la forme d’un graphique reliant les données et les actifs de données pertinents aux équipes concernées, aux projets en cours et aux résultats commerciaux. Des initiatives similaires existent chez LinkedIn (Datahub), Netflix (Metacat), Uber (Databook) et Spotify (Lexikon).

#2 Stimuler la génération d’informations basées sur les données grâce au libre-service

Traditionnellement, les rapports et les analyses sont générés par des spécialistes au sein des départements informatiques, ce qui ralentit le processus, limite l’innovation et la prise de décision. Pour faire face à ce défi, l’utilisation d’outils en libre-service permet à l’ensemble des employés de créer leurs propres rapports ou analyses. Tableau, MicroStrategy, PowerBI et Alteryx sont des exemples d’outils de ce type qui ont récemment pris de l’ampleur.

Mais, malgré leurs avantages évidents, ces outils ne sont encore souvent accessibles qu’à un public très restreint dans la plupart des entreprises aujourd’hui. Pour aller de l’avant, les entreprises doivent proposer des environnements en libre-service afin que les employés puissent récupérer les analyses existantes ou en créer eux-mêmes. C’est le choix qu’a fait Uber en créant une plateforme d’analyse en libre-service « conçue pour les experts, mais également pour les personnes moins techniques ». Leur objectif : agir pour que les données soient utilisées pour éclairer toutes les décisions de l’entreprise.

#3 Améliorer la connaissance des données grâce à des programmes spécifiques pour des personas ou des familles de rôles

Bien sûr, tous les employés ne sont pas forcément à l’aise avec les données. La maîtrise des données implique un parcours d’apprentissage continu intégré dans les plans de carrière. La première étape consiste à identifier les rôles ou les catégories d’employés qui doivent être capables d’utiliser et d’interpréter des données.

Pour répondre à ce besoin de (ré)éducation et de (re)qualification, des programmes de formation peuvent être mis en place pour refléter les besoins spécifiques de différents employés ou personas, comprenant des cours intensifs, un apprentissage en situation, des programmes de coaching entre pairs, …

Airbnb a ainsi créé la « Data university » qui forme tous les employés à travers trois personas – les spécialistes des données, les managers et les débutants – et à travers trois niveaux de compétence : la sensibilisation aux données, la collecte et la visualisation des données, et les données à grande échelle.

#4 Faire progresser les pratiques en matière de données en créant des communautés

Les pratiques en termes de données sont généralement sous-développées dans la plupart des entreprises et les employés qui assument des fonctions liées aux données se sentent souvent isolés. L’absence de partage systématique des connaissances et le manque de collaboration exacerbent leur isolement.

La création de communautés de données autour d’un domaine d’intérêt commun – par exemple, un outil analytique spécifique, une méthode ou un problème commercial – peut contribuer à promouvoir l’apprentissage et à façonner les pratiques en matière de données par le biais d’expériences partagées. Ces communautés contribuent à une responsabilisation collective vis-à-vis de la data. Elles constituent également un moyen efficace d’aborder des questions communes telles que l’accès aux données ou leur qualité, et contribuent à l’harmonisation des pratiques à l’échelle de l’entreprise.

#5 Promouvoir les données par le biais de divers canaux de communication au sein de l’entreprise

Malgré la mise en place de formations, la confiance des employés dans l’utilisation des données et l’intégration de la data dans la culture de l’entreprise sont des obstacles fréquents pour devenir réellement data-driven. Pour accroître la confiance des employés et stimuler la demande de données, les entreprises doivent en faire la promotion à travers des canaux de communication dédiés, événements d’entreprise, newsletters internes, …

À mesure que les entreprises développent leur réseau d’utilisateurs de données, des ambassadeurs peuvent être recrutés pour promouvoir l’usage de la data. Chez Uber, des champions de la data interviennent en tant qu’ambassadeurs dans chaque équipe commerciale afin de promouvoir localement la valeur des données tout en assurant une communication constante avec les experts en données.

Pour creuser le sujet, c’est 👉 ici (l’article est en anglais).

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Pour s’inspirer :

Les entreprises à suivre

Pennylane, une startup de fintech spécialisée dans la gestion financière et la comptabilité, vient de boucler un tour de table de 40 millions d’euros, devenant par la même occasion la nouvelle licorne française. Un exemple de plus qui montre qu’une interface simple et une expérience utilisateur intuitive peuvent permettre aux nouveaux arrivants de jouer dans la cour des grands – voire de révolutionner le marché.

En 2023, une seule startup française avait obtenu le statut de licorne : Mistral AI, championne de l’IA et rivale de ChatGPT. Avec une levée de fonds de 385 millions d’euros moins de 6 mois après sa création, la jeune pousse ne cache pas son objectif final : « arriver à parité avec OpenAI ».

**Les événements à ne pas manquer**

Le mois s’annonce chargé ! Outre le One to One Monaco (du 12 au 14 mars) et le SMX Paris (les 14 et 15 mars), les premiers jours de mars accueillent les Retail Days, le Sommet des Directions d’Enseignes, organisé par Républik Retail. Ça se passe les 5 et 6 mars à Deauville. Au programme : IA générative, franchises, drive to store, programme de fidélité ou encore économie circulaire.

Les 19 et 20 mars marquent le retour du SEO Square pour sa huitième édition : deux jours complets de webinars 100 % SEO et Content Marketing ouverts à tous et entièrement gratuits.

Le mois se terminera avec deux événements qui soutiennent l’innovation : ChangeNow, du 25 au 27 mars au Grand Palais éphémère, qui se concentre sur les solutions pour un monde plus durable ; et la Maddy Keynote, le 28 mars au Palais Brongniart, un événement qui réunit les acteurs clés de l’écosystème entrepreneurial.

**Mes recommandations à lire et à écouter**

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Article : Chaque année, le MIT technology review partage son top 10 des technologies les plus prometteuses susceptibles d’avoir un impact réel sur le monde : cellules solaires ultra-efficaces, systèmes géothermiques avancés, micropuces, le premier traitement par modification génétique, … Voici la liste des “10 Breakthrough Technologies 2024”.

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Podcast : Sismique, un podcast pour explorer, se préparer et s’adapter à un monde en pleine mutation

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Article : Après l’euphorie, retour à la réalité. À la suite d’une enquête de plusieurs mois sur son chatbot d’IA ChatGPT, OpenAI est soupçonnée de violer les lois européennes sur la protection de la vie privée.

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Newsletter : Investissements en berne, focus sur l’IA (Mistral, Preligens, …) et le climat (avec notamment la startup Verkor), … Alexandre Dewez du VC fund Eurazio partage un état des lieux de l’écosystème tech français dans sa newsletter.

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Newsletter : Le plongeoir, une newsletter qui décrypte tous les vendredis un secteur et partage des idées de boîte à créer ou à rejoindre qui pourraient tout faire basculer.

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Article : Les chefs d’entreprise jouent la prudence face à l’IA, c’est ce que révèle le baromètre des entreprises françaises 2024.

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Interview : Gilles Moyse, docteur en intelligence artificielle, président de l’entreprise reciTAL et auteur de « Donnerons-nous notre langue au ChatGPT ? L’impact de l’IA sur notre avenir » (Éditions Le Robert) retrace l’histoire de l’IA pour mieux nous situer aujourd’hui entre vision magique et tragique.

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Podcast : Alix Prudhon et Lucile Foucard (nos marketing & sales directors) étaient invitées par le podcast Qlose pour partager leur insights sur l’alignement ventes-marketing : quels KPI choisir, comment communiquer de manière efficace, quelles routines pour faciliter la collaboration, …

À bientôt, pour toujours plus de tendances, data et hacks dans la prochaine lettre de l’Expérience Digitale !

Geoffrey Vion

A versatile marketing & communication expert, Geoffrey Vion is Marketing Director for France and Southern Europe at Contentsquare. He worked for more than 10 years within the Renault-Nissan Group, then within various digital tech startups.