La Lettre de l'Expérience Digitale

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Quel est le lien entre le grand écran et le digital ? Bien plus qu’on ne le pense ! Pour cette 75ème édition du festival de Cannes, TikTok, Instagram ou encore Youtube ont véritablement remplacé les médias traditionnels pour couvrir l’événement.

Avec plus de 200 millions de vues totalisées pour les vidéos Brut. dédiées au festival, le succès du média 100 % vidéo ne fait plus de doute. Pour en savoir plus sur cette réussite fulgurante, j’ai interviewé Guillaume Lacroix, CEO de Brut., et tenté d’y voir un peu plus clair sur le lien entre digital, data et cinéma.

Bonne lecture !

Pas le temps de tout lire ? Je vous fais un récap’

1 – Le CA du eCommerce en progression de 12 % au trimestre 1 2022 selon la Fevad.

2 – La Greentech à l’honneur à VivaTech.

3 – Format unique et sentiment très fort d’appartenance à une communauté, les ingrédients du succès de Brut. selon leur CEO, Guillaume Lacroix.
4 – Data, tech et cinéma, le (nouveau) trio gagnant qui renouvelle le 7ème art.

5 – Réalité augmentée, podcasts, réalité virtuelle, IA… les innovations technologiques qui transforment les musées.

6 – Faciliter la navigation grâce aux fonctionnalités d’affichage produits, un des 3 conseils UX pour préparer la saison du pic de ventes.

7 – Maxitoys augmente de 26 % le nombre des transactions sur son moteur de recherches dédié aux jouets grâce à l’AB testing et l’analyse de heatmaps.

Le data snack

1 – Bilan T1 2022 : le shift vers le eCommerce se confirme

* le titre du “data snack” était erroné le mois dernier, on parlait évidemment de métavers et non d’eCommerce 🙈

Lors de sa grande conférence de presse le 19 mai dernier, la Fevad a partagé son bilan pour le premier trimestre 2022. En résumé :

11,8 % – la progression du eCommerce par rapport au trimestre 1 2021
32,5 milliards d’€ – le CA du eCommerce entre janvier et mars 2022
56 % – la part des services dans le CA du eCommerce
+ 14 % – la hausse des ventes sur mobile
62 € – le panier moyen des transactions (en hausse de 6 %)
527 millions – le nombre de transactions recensées au trimestre 1 2022 (en hausse de 5 % par rapport à 2021)
+ 135 % – la progression des ventes de transport, loisir et tourisme par rapport à l’année dernière

Retrouvez le bilan complet du eCommerce au T1 2022 sur le site de la Fevad.

On y était

2 – Clap de fin sur VivaTech 2022

Alors que le grand salon Français de l’innovation vient de tirer le rideau, les quelques 91 000 visiteurs physiques et plus de 300 000 connectés ont pu découvrir les 6 grandes thématiques mises à l’honneur cette année :

l’écologie, et plus particulièrement la course au 0 net carbone selon les recommandations du GIEC – 22 startups ont notamment été récompensées pour leurs travaux et ambitions pour l’écologie.
la mobilité et son virage durable – enfin, pas encore complètement assumé pour Audi avec les 623 chevaux de son concept-car Skysphere, la voiture est capable de changer de taille et de passer de 0 à 100 km/h en moins de 4 secondes. Non, l’électrique ne fait pas tout.
le Web3 et tout ce qui l’entoure (cryptomonnaies, métavers, blockchain…) – sans surprise, néanmoins très attendu notamment l’échange entre Changpeng Zhao, le CEO de Binance et Vitalik Buterin, le fondateur d’Ethereum qui a fait salle pleine !
le futur du travail pour faire évoluer les usages du travail de manière durable et intégrer les nouveaux enjeux du travail hybride.
l’inclusion sociale, pour que la diversité, qu’elle soit « genrée », géographique ou sociale, soit mieux prise en compte dans l’univers tech.
et European scaleups, pour mettre en valeur la scène start-up et scale-up européenne bouillonnante et créative.

paragraphe 2 Mercredi, notre VP Product Lucie Buisson parlait Customer Experience avec Tini Sevak de CNN sur la grande scène de VivaTech. Toutes deux partageaient l’importance d’une approche mobile-first. « Pour offrir des expériences sans couture, gratifiantes et engageantes, une seule solution : écoutez vos clients » soutient Lucie. « L’objectif final : concevoir des expériences numériques plus humaines ».

On a réussi à croiser François Bitouzet, directeur général de PublicisLive et DG de VivaTech à partir du 1er juillet, qui nous a livré en exclu son feedback sur l’événement : « 2022 marque le retour en force de VivaTech, qui confirme sa place de premier événement européen des startups, de la tech et du digital. Cette édition démontre toute la sexyness de l’écosystème startups européen dans un monde digital en pleine transformation ».

Retrouvez tous les replays sur le site de VivaTech.

3 questions à…

3 – Guillaume Lacroix, CEO de Brut.

paragraphe 3 Populaire dès sa création, les productions du média 100 % vidéo sont visionnées aujourd’hui par quelques 350 millions de personnes dans le monde entier. Sans parler des 200 millions de vues cumulées par les vidéos du festival de Cannes de cette année. Un succès fulgurant qui s’explique par un format unique ainsi qu’un sentiment très fort d’appartenance à une communauté. J’ai eu l’occasion de discuter avec Guillaume Lacroix, CEO de Brut il y a quelques mois, je vous partage le contenu de nos échanges…

D’abord, parce que nous avons tous déjà entendu cette phrase, pouvez-nous expliquer ce qu’est faire une vidéo “à la Brut.” ?

« C’est une vaste question ! Il y a plusieurs sujets dans une vidéo à la Brut., d’abord, le fait que chaque vidéo soit centrée sur l’humain. Brut. a décollé grâce aux vidéos laissant la parole à des personnes inconnues mais qui font bouger les choses. Il y a un véritable sujet d’éducation dans nos vidéos. On essaie de faire des vidéos qui donnent un contexte, des informations sur le monde pour que les gens puissent ensuite s’en emparer et discuter. Nous sommes à l’opposé du média d’opinion. L’objectif est d’informer, d’éduquer et d’aider à la compréhension. Le tout dans un prisme positif, orienté solution et donc au final très humain, à nouveau. »

La communauté est au cœur de votre succès, comment l’expliquez-vous ?

« Brut. s’inscrit au cœur de la conversation sociale. Le format des vidéos en lui-même impose d’entrer directement dans le vif du sujet et doit permettre de démarrer des conversations. Brut. s’est également construit sur des valeurs très fortes, intemporelles et universelles : la responsabilité de pouvoir, la lutte contre toutes les discriminations, la priorité aux solutions et à la solidarité. Naturellement le sentiment d’appartenance à une communauté se révèle très fort et se traduit par un engagement puissant.

Et tout simplement parce que notre core business, c’est d’être au cœur de la communauté. »

Comment mesurez-vous l’engagement ?

« Nous accélérons actuellement sur la data en first-party. En revanche, nous suivons déjà de très près la data comportementale que mettent à disposition les plateformes sur lesquelles nous diffusons nos vidéos. Mais nous sommes très stricts sur son usage. La data est utilisée pour mieux raconter nos histoires, pas pour définir notre ligne éditoriale, sinon c’est prendre le risque de ne pas se démarquer. Encore une fois, l’objectif est de susciter des conversations, donc il faut absolument que nous poussions des contenus auxquels nos utilisateurs ne s’attendent pas. »

L’actu du moment

4 – 3 raisons de réconcilier digital et cinéma grâce aux data

Digital, data et cinéma semblent faire mauvais ménage. L’étude commandée à l’IFOP par l’Association française des cinémas d’art et essai (Afcae) pointe du doigt les géants du streaming (Netflix, Amazon Prime Video et Disney+) et les accuse de contribuer à la désertion des salles en France. Pendant que Netflix a gagné 55 millions d’abonnés lors de la crise sanitaire, le CNC (Centre national du cinéma) annonce une fréquentation des salles de cinéma en berne au mois de mars 2022 (– 29,7 % par rapport à 2019 !). L’usage des technologies numériques et de la data démocratisé par le géant de Los Gatos a disrupté le marché de la production de films et de séries. Et profondément changé nos habitudes de consommation, c’est certain. Le digital sonnerait-il la fin du cinéma en salle ? Faut-il voir l’utilisation des data comme un fléau ou une opportunité ? Chez Contentsquare, on aime les data. On pense même qu’elles peuvent aider à réconcilier cinéma et digital. Et encourager le grand écran à se réinventer ! En voici 3 raisons.

#1 Le thème de la data a toujours inspiré le cinéma pour nous fasciner

De nombreux films ont intégré les data à leur scénario bien avant la création du mot Big Data. Rappelez-vous le film Matrix qui a fait un carton en 1999. Il décrivait déjà un monde virtuel apocalyptique fait de données numériques. Dans Bienvenue à Gattaca, on a trouvé le moyen de séquencer l’ADN humain et d’en centraliser les données pour prédire le futur et organiser une sélection d’être humains parfaits. Ces scénarios d’anticipation autour des applications de la data suscitent crainte et fascination. Ils sont d’excellents cocktails mêlant réflexion et divertissement.

#2 La data rend le cinéma accessible

À l’instar de Deezer pour la musique, la plateforme Netflix ravit ses abonnés à partir de l’analyse de leurs recherches : nature et portions de contenu vues, heures et jours de visionnage, notes, comportement de navigation… le moteur de recommandation collecte et analyse la data pour créer une carte des goûts spécifique à chaque spectateur. Et lui suggérer des films et séries qu’il pourrait aimer de façon très personnalisée. Certains ont soulevé que les suggestions de l’algorithme peuvent enfermer l’utilisateur dans ses habitudes et l’encourager à regarder constamment les mêmes types de contenus. C’est un risque, mais Netflix n’enlève à personne son libre arbitre ni son sens critique ! Il a permis en outre à des millions de personnes de s’évader et de découvrir facilement de nouveaux programmes pendant le confinement.

#3 Prédire le succès d’un film grâce aux data

C’est l’objectif du logiciel édité par la société Largo.ai, une start-up suisse. Grâce à une IA entraînée sur une base de données de 60 000 films européens et américains, le logiciel permet à l’industrie du cinéma (producteurs, distributeurs, réalisateurs, écrivains et financiers) de prendre de meilleures décisions en s’appuyant sur l’analyse de leur projet. Largo.ai a permis d’accompagner environ 1 000 projets depuis sa création, avec des résultats avoisinant les 80 % selon Sami Arpa son PDG.

Pour conclure : Le cinéma en salle est-il mort ?

Si les salles de cinéma n’attirent plus autant qu’avant la crise, le grand écran a encore un bel avenir devant lui, à condition de se réinventer comme le souligne Michèle Halberstad, productrice et distributrice ARP. Des initiatives sont déjà en train d’être testées comme à Toulouse qui a vu naître en 2018 la Forêt Électrique, un cinéma éphémère dans un ancien atelier industriel. Le lieu diversifié intègre un bar, des activités événementielles et une structure de production. Ce lieu de rassemblement festif hybride prouve que les salles obscures tentent de trouver des solutions pour attirer et répondre aux nouveaux besoins de leur public. Cette innovation en appellera forcément d’autres.

Résumé d’article

5 – Quand les musées adoptent le digital…

strats-image-4032287 Réalité augmentée, podcast, réalité virtuelle, IA, … les musées aussi font leur révolution technologique et dépoussièrent un monde longtemps considéré comme (trop) conservateur. Que cela soit pour fluidifier la fréquentation des musées (avec l’application Affluences), rendre accessibles les contenus culturels à des personnes en situation de handicap ou apporter une dose d’interactivité aux visites, comme l’immersion dans la Joconde proposée par le Louvre pour son exposition Léonard de Vinci, les musées sont bien décidés à profiter des innovations technologiques pour se réinventer. En voici 4 exemples :

La réalité augmentée pour sauvegarder la mémoire historique

Grâce à la start-up Histovery et à son Histopad, vous pouvez désormais visiter la Conciergerie, le Palais des Papes d’Avignon ou encore le Domaine National de Chambord comme à l’époque de la Renaissance. Les reconstitutions virtuelles à 360 degrés des lieux « permettent au grand public de redécouvrir la richesse du patrimoine culturel grâce à des technologies interactives, spectaculaires et accessibles à tous » promet la startup.

Les chatbots pour organiser et se faire guider

Le chatbot, nouveau guide touristique ? C’est ce que tente le Musée d’Anne Frank à Amsterdam, qui a un agent conversationnel, conçu pour être un compagnon des visiteurs à l’image d’Anne Frank, et les aider à préparer leur visite en amont, mais aussi de poser des questions relatives au thème de l’exposition. Une manière de créer une connexion avec l’histoire pour leurs visiteurs, dont « la moitié ont moins de 30 ans » affirme le directeur du musée.

La réalité virtuelle pour éduquer en immersion

Comment toucher un jeune public parfois réticent à entrer dans les musées ? C’est le problème que tentent de résoudre les casques de réalité virtuelle et les collections virtuelles au sein des lieux culturels. Ainsi, le Cabinet de Réalité Virtuelle, situé au troisième étage de la Grande Galerie de l’Évolution du Muséum national d’Histoire naturelle de Paris, propose une immersion au cœur de l’Évolution. On y trouve notamment des reconstitutions de dinosaures et de plus de 450 espèces emblématiques du vivant, actuelles et fossiles. « La réalité virtuelle devient un outil pédagogique de connaissance scientifique qui associe émotion et découverte » déclare le musée.

L’intelligence artificielle pour gérer et conserver

Et si l’IA pouvait nous aider à gérer et conserver le patrimoine culturel ? C’est le parti pris par le le Musée d’art moderne et contemporain de New York (le MoMa) pour trier, répertorier, et rendre accessibles en ligne les dizaines de milliers de photographies prises depuis près d’un siècle afin de consigner toutes les expositions temporaires passées entre leurs murs. Un travail de titan rendu possible par la technologie ! Merci qui ?

Cet article ne donne qu’un aperçu des technologies qui révolutionnent les musées. Parmi les innovations dans le monde de la culture, on compte aussi : les podcasts qui décrivent une œuvre du Centre Pompidou, les œuvres d’art virtuelles et les musées virtuels rendus possibles par les NFT et le métavers.

Pour lire l’article en entier, c’est ici 👉4 innovations technologiques dans les musées.

Tips & bonnes pratiques

6 – 3 conseils UX pour tester votre expérience utilisateur avant le pic de ventes

Black Friday, soldes d’hiver, Cyber Monday, French Days… les marronniers du eCommerce approchent à grand pas ! Chaque année, ils affolent le compteur de ventes de milliers de boutiques en ligne.

Pour préparer l’arrivée des pics de ventes et les optimiser, les marques le savent : l’expérience utilisateur joue un rôle essentiel. Comment l’améliorer ?

Notre expert Matt, UX Designer chez Contentsquare, vous partage 3 conseils pour tester votre expérience utilisateur avant le pic de ventes.

#1 Soigner la page d’accueil

Pendant les périodes de soldes, les clients veulent acheter au meilleur prix et vite. Pour mettre toutes les chances de votre côté, vos produits doivent être faciles d’accès.

Voici quelques idées pour soigner l’UX de votre page d’accueil :

optez pour un design épuré et miser sur la sobriété ;
placez le CTA bien en évidence au-dessus de la ligne de flottaison pour encourager au clic ;
supprimez les publicités qui pourraient distraire votre utilisateur.

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La home page de John Lewis, grand magasin britannique, dans un design épuré noir et blanc.

La transparence et la confiance sont l’alpha et l’oméga du parcours utilisateur et favorisent la conversion. Comment les encourager ?

ajoutez des indications pratiques comme « en stock » ou « livraison gratuite » ;
rendez les tailles et les couleurs disponibles immédiatement accessibles ;
misez sur les options de cross-sell.

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Le site d’Adidas permet de comparer les couleurs sans avoir à scroller

#3 Accélérer le processus d’achat grâce à la connexion au compte et au paiement en tant qu’invité

Le processus de paiement doit être simple, intuitif et facile d’utilisation. Mettez-vous à la place de votre client ! Permettez-lui “pour acheter” de :

passer par un compte de réseau social ;
continuer en tant qu’invité.

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Le checkout en mode invité de Dune sur mobile

Pour accéder aux conseils UX de notre expert c’est par ici 👉3 conseils UX pour tester votre expérience utilisateur avant le pic de ventes.

Ils l’appliquent à merveille

7 – Le coup de baguette magique de Maxitoys pour briller pendant la saison du pic de ventes

C’est bien connu, tout se joue au premier regard… ou dans le cas d’un site eCommerce, aux premières secondes passées sur la homepage. Alors quand Maxitoys découvre que le taux d’exposition de son moteur de recherche du cadeau idéal (basé sur le sexe, l’âge, le budget souhaité et l’intérêt de l’enfant) n’est que de 15,5 % sur mobile malgré un taux d’attractivité de 42 %, le spécialiste du jouet comprend vite qu’il va devoir agir à l’approche de Noël et du pic de ventes.

Grâce à une campagne d’AB testing couplée à de l’analyse de heatmaps, Maxitoys a réussi à identifier la position optimale pour son moteur de recherche de cadeau : directement sous la bannière promotionnelle. Et les résultats ne se sont pas fait attendre :

+ 3 % de taux de clic 🖱
+ 8 % de taux d’exposition 👁
+ 26 % du nombre de transactions 💵

Défi relevé pour Maxitoys !

Pour en savoir plus sur cette optimisation de homepage réussie 👉 l’article complet

Pour s’inspirer :

Les entreprises à suivre

On parlait métavers le mois dernier, j’ai voulu creuser le sujet du point de vue des entreprises qui se lancent – avec plus ou moins de succès 😅

En attendant la sortie de l’espace virtuel de Mark Zuckerberg, de nombreuses entreprises ont déjà investi dans The Sandbox, ce métavers français qui comptait pas moins d’1,6 million d’utilisateurs en janvier 2022.
Associé à l’école Simplon.co, Meta lance son académie du métavers : dès septembre 2022, des formations gratuites démarreront à Paris, Marseille, Lyon et Nice pour former des concepteurs développeurs spécialisés en technologies immersives ainsi que des techniciens en support informatique.
Ça tombe bien, parce que Disney cherche à recruter des spécialistes NFT pour se lancer dans le métavers.
Carrefour a tenté une grande opération de recrutement sur le métavers qui a rapidement tourné au fiasco : graphismes amateurs, inutilité du dispositif… les commentaires sont sans pitié !

Balenciaga a démarré une collaboration avec le célèbre jeu vidéo Fortnite en adoptant Doggo, un des personnages emblématiques du jeu, comme modèle. La frontière entre réel et virtuel devient de plus en plus poreuse : les joueurs peuvent choisir des tenues et accessoires Balenciaga dans l’univers virtuel et s’acheter des vêtements Fortnite x Balenciaga dans la vraie vie.

Le Festival de Cannes : en partenariat avec France Info et le média digital Brut., cette 75ème édition a fait un effort particulier pour augmenter sa visibilité auprès des jeunes partout sur la planète en investissant le métavers de Fortnite.

Les événements à ne pas manquer

On se prépare pour la rentrée !

Innovation Club by Contentsquare le 5 juillet à Paris et en ligne – l’occasion de parler NFT et métavers
SIDO les 14 et 15 septembre à Lyon – le premier événement en Europe sur la convergence des technologies IoT, IA, XR et robotique
Paris Retail Week du 20 du 22 septembre – le rendez-vous des professionnels du eCommerce et du commerce connecté qui attire chaque année plus de 15 500 participants et quelques 330 exposants
Save the date pour le prochain CX circle le 17 novembre – je vous donnerai toutes les info à la rentrée

Mes recommandations à lire et à écouter

	myBrut pour recevoir le meilleur de l’actualité (personnalisée) dans votre boîte mail.
	J’ai été interviewé par Axel Kaletka sur le sujet Comment scaler sa croissance. Je vous conseille vivement son podcast “Le café du market” – on y retrouve Juliette Hervé de Spendesk, Tiphone Amblard d’Hubspot, ou encore Guillaume Moubeche de Lemlist.
	Si vous n’avez pas pu participer à la grand-messe de l’innovation, le plus gros salon tech Européen aka VivaTech qui vient de se dérouler à Paris, Presse-Citron vous en fait un compte-rendu détaillé

Rendez-vous le mois prochain pour toujours plus de tendances, data et hacks dans la prochaine lettre de l’Expérience Digitale !

À très vite,
Geoffrey

Auteur

Geoffrey Vion

Après 10 ans passés au sein du groupe Renault-Nissan en Marketing et Communication puis dans différentes startup Tech & Digital, je suis aujourd’hui VP Marketing EMEA chez Contentsquare. Un parcours qui me permet de comprendre les différentes enjeux du digital, quelle que soit la structure. Chaque mois, retrouvez ma newsletter avec des sujets autour de l’UX, dernières tendances et interviews… restez attentifs !

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La Lettre de l’Expérience Digitale – Juin 2022 : Brut. média, cinéma, innovation dans les musées